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Faim psychologique VS Faim physiologique

La « faim psychologique » nous pousse à manger pour satisfaire nos sens ou pour répondre à un besoin en régulation émotionnelle. Mais n’y a-t-il pas une régulation émotionnelle dans chaque acte alimentaire ?

« Prendre soin (Care) n’est pas juste une « décoration » du soin (Cure) »

« Pourquoi accueillir la frustration de nos patients ? »

« Sommes-nous trop collés à l’instant présent ? »

Le multitâche, qui se généralise de plus en plus au travail et à la maison avec les outils connectés (smartphone, ordinateur, écrans), favorise une attention qui saute comme une puce, comme en carence d’attention soutenue. Le retour au corps est cependant un support majeur de la prise de recul, et ces multi-stimuli externes au corps favorise la dispersion chronique.

« Pleine Conscience : est-ce vraiment un terme adapté ? »

« Percevoir les sensations alimentaires : une fin en soi ? »

J’observe de plus en plus de collègues qui utilisent des outils de TCC ou de phénoménologie (pleine conscience, hypnose etc…) pour aider les patients à mieux percevoir leurs sensations alimentaires (et c’est tant mieux!). Je m’interroge juste sur l’intention de percevoir ses sensations alimentaires comme une fin en soi.

« Placer des attentes élevées, c’est le risque de se couper des expériences que nous vivons. »

« Et si on osait se tromper ? »

En tant que diététicien, nous représentons généralement le soin/la maitrise par l’alimentation aux yeux des autres. 

Ainsi si nous osons, en prenant le risque d’être dans ce qui semble être une erreur, alors cela peut être une aide pour les patients qui peuvent avoir peur de « mal faire » autour de leur alimentation.

« Est-ce que la crise est à diaboliser systématiquement ? »

« Se peser peut être le risque de se déconnecter des besoins du corps autour de l’alimentation »

En randonnée dans les Pyrénées

Le vivant, sur lequel nous n’avons peu ou pas de maitrise, tente de s’adapter à un milieu en permanence.

« Message d’amour à mon métier, à mes collègues et nos patients. »

« Fermer les portes du passé et du futur »

« Fermer les portes du passé et du futur » est une métaphore que j’entends souvent dans les enseignements sur la Pleine Conscience.

« Il manque de volonté » : une remarque qui illustre le déni du corps ?

C’est une phrase que l’on peut souvent retrouver dans la bouche de nombreux soignants (et dans la population générale), pour signifier qu’une personne vivant avec une obésité « manque de motivation », « est flemmarde », « ne fait rien », « qu’elle a juste à moins manger et plus se bouger » etc…

« Dans tous types de relation d’aide, l’accompagnant devrait travailler sur ses vulnérabilités de façon continue »

J’observe une représentation récurrente comme quoi la sensibilité et l’écoute sont réservées aux psy, alors que c’est au fondement de l’élan contributif de n’importe quel humain.

Les représentations du « corps idéal » féminin et masculin varient d’une époque à une autre.

« C’est bon je le connais ce patient, j’ai déjà son dossier ».

J’entends parfois cela des équipes que je forme. Le risque dans cette attitude serait d’être dans une écoute passagère, voir une non-écoute.

La « compulsion » au régime

On parle souvent des compulsions alimentaires mais il est également fréquent de rencontrer chez des personnes en souffrance avec leur alimentation et leur corps, une « volonté » de perdre vite du poids.

Au fondement du soin diététique : la complexité de l’acte de manger 

« L’alimentation en Pleine Conscience n’est pas qu’une hyper « concentration » sur l’assiette. C’est aussi un entrainement à l’observation de la « danse de l’attention »

« Éducation et émancipation »

De la culpabilité à la responsabilité

Les approches actuelles autour du changement de comportement (ETP, entretien motivationnel, ACT…) ont pour vertu de faire passer les personnes de la culpabilisation infantilisante (paternalisme) à la responsabilisation éclairée.

Les troubles de l’humeur : un des facteurs majeurs de décompensation de TCA

Peut-on être « trop » empathique ?

J’entends souvent chez certains participants de formation ou chez certains patients « moi, je suis trop empathique ». Ce « trop » est souvent vécu comme un poids, un inconfort jusqu’à par moment envahir la personne émotionnellement.

Manger pour réguler un poids sur une balance ?

Considérons que l’acte de manger est un acte qui se fait avec le corps tout entier dans une relation à soi, à son alimentation et à l’autre, cela signifierait que l’on réduit ces relations à un simple chiffre ?

Peut-on affirmer qu’un patient a de « fausses croyances » ?

Dans le soin ce qui compte, c’est la relation que nous avons avec les choses

Faim VS Envie : un mythe ?

Moi perso quand j’ai faim, j’ai envie de manger !

« Vouloir que le patient change VS créer les conditions pour qu’il puisse décider »

« La Pleine Conscience (PC) : un état ou un chemin ? »

« La culpabilité : si mauvaise que ça ? »

Je vois de plus en plus de collègues avoir un discours un peu simpliste : « Retrouver une alimentation SANS culpabiliser » et risquant de diaboliser simultanément le fait de ressentir de la culpabilité.